Le 04 décembre 1990, Idriss Deby peinait à lire sur les ondes de la radio télévision Tchadienne ce que lui avaient rédigés ses « nègres ». Ainsi s’adressant aux Tchadiens assoiffés de liberté et de démocratie, il disait à voix tremblante ceci ; « je ne vous apporte ni or, ni argent, mais la démocratie …
↧